L’acérola, surnommé aussi « la cerise des Barbades » fait partie de ces fruits qualifiés de « super-aliments » grâce à sa chair riche en vitamine C, reconnue pour son pouvoir antioxydant. On le trouve très souvent sous forme de comprimés et de gélules dans les étales des épiceries bio et des pharmacies à l'instar des baies de goji ou de l'açaï

Aux origines de l’acérola

Le fruit de l’acérolier est connu pour sa richesse en vitamine C qui est jusqu’à 40 fois plus élevée que les agrumes comme l’orange ou encore le citron. Cette petite cerise pousse dans les régions tropicales de l’Amérique du Sud et est consommée depuis des décennies par les amérindiens pour ses qualités nutritives et médicinales. La consommation d’acérola est préconisée à l’entrée de l’automne pour pallier à certains déséquilibres de l’organisme durant cette période charnière où le corps est plus sujet aux maladies.

Comment utiliser l'acérola ?

Famille de « super-aliments » oblige, cuire ou même chauffer l’acérola est déconseillé si l’on veut pouvoir profiter de ses qualités nutritives. Lorsqu'il est frais, le fruit est très fragile : il se conserve 48 heures au réfrigérateur et ne doit pas être trop manipulé. Le plus souvent, on trouve l’acérola sous forme de jus ou en poudre. Idéalement, on l’utilise à l’heure du petit-déjeuner pour apporter de la couleur et une saveur acidulée aux bols de muesli ou de porridge par exemple. Pour varier les plaisirs, l’acérola peut-être intégrer aux confitures pour apporter un peu d’originalité aux recettes traditionnelles.